Interview Yvette Lathuilière

Interview Céline Caël et Laurent Reynaud

Interview Aurélie Zwang

Interview Xavier Riondet

Interview Yvette Lathuilière

Interview Céline Caël et Laurent Reynaud

Interview Aurélie Zwang

Interview avec Vincent Le Calvez

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Interview avec Vincent Le Calvez

En quoi les usages de la langue en mathématiques sont une source de complexité et de difficulté pour les élèves ? Quels sont les leviers possibles pour l'enseignement et l'apprentissage ?

En quoi les usages de la langue en mathématiques sont une source de complexité et de difficulté pour les élèves ? Quels sont les leviers possibles pour l'enseignement et l'apprentissage ?

En quoi les usages de la langue en mathématiques sont une source de complexité et de difficulté pour les élèves ? Quels sont les leviers possibles pour l'enseignement et l'apprentissage ?

En quoi les usages de la langue en mathématiques sont une source de complexité et de difficulté pour les élèves ? Quels sont les leviers possibles pour l'enseignement et l'apprentissage ?

En quoi les usages de la langue en mathématiques sont une source de complexité et de difficulté pour les élèves ? Quels sont les leviers possibles pour l'enseignement et l'apprentissage ?

En quoi les usages de la langue en mathématiques sont une source de complexité et de difficulté pour les élèves ? Quels sont les leviers possibles pour l'enseignement et l'apprentissage ?

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En quoi les usages de la langue en mathématiques sont une source de complexité et de difficulté pour les élèves ? Quels sont les leviers possibles pour l'enseignement et l'apprentissage ?

En quoi les usages de la langue en mathématiques sont une source de complexité et de difficulté pour les élèves ? Quels sont les leviers possibles pour l'enseignement et l'apprentissage ?

Dans la littérature internationale, la « direction d’établissement » englobe la direction du premier et du second degré. En France, ces fonctions diffèrent : les directeur·trices dirigent les écoles primaires, tandis que les chef·fes d’établissement de l’enseignement public pilotent les établissements secondaires (collèges, lycées et établissements spécialisés) et sont secondé·es dans leurs rôles par un·e adjoint·e. Ces dernier·ères appartiennent à un statut spécifique de personnels de direction, officialisé en 1988 et unifié en 2001, qui marque un tournant dans l’organisation de l’encadrement scolaire. L’Édubref n°26 retrace l’évolution de cette fonction depuis 1802, en lien avec les transformations du système éducatif : massification, décentralisation, exigence de performance. Les chef·fes d’établissement sont désormais formé·es à l’IH2EF et doivent conjuguer héritage bureaucratique et nouvelles injonctions managériales, dans une logique de pilotage local fondée sur les résultats et l’adaptation aux spécificités des établissements.

Dans la littérature internationale, la « direction d’établissement » englobe la direction du premier et du second degré. En France, ces fonctions diffèrent : les directeur·trices dirigent les écoles primaires, tandis que les chef·fes d’établissement de l’enseignement public pilotent les établissements secondaires (collèges, lycées et établissements spécialisés) et sont secondé·es dans leurs rôles par un·e adjoint·e. Ces dernier·ères appartiennent à un statut spécifique de personnels de direction, officialisé en 1988 et unifié en 2001, qui marque un tournant dans l’organisation de l’encadrement scolaire. L’Édubref n°26 retrace l’évolution de cette fonction depuis 1802, en lien avec les transformations du système éducatif : massification, décentralisation, exigence de performance. Les chef·fes d’établissement sont désormais formé·es à l’IH2EF et doivent conjuguer héritage bureaucratique et nouvelles injonctions managériales, dans une logique de pilotage local fondée sur les résultats et l’adaptation aux spécificités des établissements.

Dans la littérature internationale, la « direction d’établissement » englobe la direction du premier et du second degré. En France, ces fonctions diffèrent : les directeur·trices dirigent les écoles primaires, tandis que les chef·fes d’établissement de l’enseignement public pilotent les établissements secondaires (collèges, lycées et établissements spécialisés) et sont secondé·es dans leurs rôles par un·e adjoint·e. Ces dernier·ères appartiennent à un statut spécifique de personnels de direction, officialisé en 1988 et unifié en 2001, qui marque un tournant dans l’organisation de l’encadrement scolaire. L’Édubref n°26 retrace l’évolution de cette fonction depuis 1802, en lien avec les transformations du système éducatif : massification, décentralisation, exigence de performance. Les chef·fes d’établissement sont désormais formé·es à l’IH2EF et doivent conjuguer héritage bureaucratique et nouvelles injonctions managériales, dans une logique de pilotage local fondée sur les résultats et l’adaptation aux spécificités des établissements.

Dans la littérature internationale, la « direction d’établissement » englobe la direction du premier et du second degré. En France, ces fonctions diffèrent : les directeur·trices dirigent les écoles primaires, tandis que les chef·fes d’établissement de l’enseignement public pilotent les établissements secondaires (collèges, lycées et établissements spécialisés) et sont secondé·es dans leurs rôles par un·e adjoint·e. Ces dernier·ères appartiennent à un statut spécifique de personnels de direction, officialisé en 1988 et unifié en 2001, qui marque un tournant dans l’organisation de l’encadrement scolaire. L’Édubref n°26 retrace l’évolution de cette fonction depuis 1802, en lien avec les transformations du système éducatif : massification, décentralisation, exigence de performance. Les chef·fes d’établissement sont désormais formé·es à l’IH2EF et doivent conjuguer héritage bureaucratique et nouvelles injonctions managériales, dans une logique de pilotage local fondée sur les résultats et l’adaptation aux spécificités des établissements.

Dans la littérature internationale, la « direction d’établissement » englobe la direction du premier et du second degré. En France, ces fonctions diffèrent : les directeur·trices dirigent les écoles primaires, tandis que les chef·fes d’établissement de l’enseignement public pilotent les établissements secondaires (collèges, lycées et établissements spécialisés) et sont secondé·es dans leurs rôles par un·e adjoint·e. Ces dernier·ères appartiennent à un statut spécifique de personnels de direction, officialisé en 1988 et unifié en 2001, qui marque un tournant dans l’organisation de l’encadrement scolaire. L’Édubref n°26 retrace l’évolution de cette fonction depuis 1802, en lien avec les transformations du système éducatif : massification, décentralisation, exigence de performance. Les chef·fes d’établissement sont désormais formé·es à l’IH2EF et doivent conjuguer héritage bureaucratique et nouvelles injonctions managériales, dans une logique de pilotage local fondée sur les résultats et l’adaptation aux spécificités des établissements.

Dans la littérature internationale, la « direction d’établissement » englobe la direction du premier et du second degré. En France, ces fonctions diffèrent : les directeur·trices dirigent les écoles primaires, tandis que les chef·fes d’établissement de l’enseignement public pilotent les établissements secondaires (collèges, lycées et établissements spécialisés) et sont secondé·es dans leurs rôles par un·e adjoint·e. Ces dernier·ères appartiennent à un statut spécifique de personnels de direction, officialisé en 1988 et unifié en 2001, qui marque un tournant dans l’organisation de l’encadrement scolaire. L’Édubref n°26 retrace l’évolution de cette fonction depuis 1802, en lien avec les transformations du système éducatif : massification, décentralisation, exigence de performance. Les chef·fes d’établissement sont désormais formé·es à l’IH2EF et doivent conjuguer héritage bureaucratique et nouvelles injonctions managériales, dans une logique de pilotage local fondée sur les résultats et l’adaptation aux spécificités des établissements.

Dans la littérature internationale, la « direction d’établissement » englobe la direction du premier et du second degré. En France, ces fonctions diffèrent : les directeur·trices dirigent les écoles primaires, tandis que les chef·fes d’établissement de l’enseignement public pilotent les établissements secondaires (collèges, lycées et établissements spécialisés) et sont secondé·es dans leurs rôles par un·e adjoint·e. Ces dernier·ères appartiennent à un statut spécifique de personnels de direction, officialisé en 1988 et unifié en 2001, qui marque un tournant dans l’organisation de l’encadrement scolaire. L’Édubref n°26 retrace l’évolution de cette fonction depuis 1802, en lien avec les transformations du système éducatif : massification, décentralisation, exigence de performance. Les chef·fes d’établissement sont désormais formé·es à l’IH2EF et doivent conjuguer héritage bureaucratique et nouvelles injonctions managériales, dans une logique de pilotage local fondée sur les résultats et l’adaptation aux spécificités des établissements.

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Retour en classe après les attentats : silences et paroles.

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