Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

Trois professeures des écoles accompagnées de leurs conseillères pédagogiques de circonscription expliquent pourquoi et comment elles se sont lancées dans l’aventure de la “classe flexible”. Loin d’une simple démarche d’aménagement ou de “modernisation” de la classe en primaire, cette évolution dans la pratique professionnelle amène un ensemble de questionnement sur les choix pédagogiques, la différenciation, l’accueil de l’élève, son autonomie, les relations au sein de la classe, avec les collègues, avec les parents.

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).

L’atelier "La Classe « autobus » a-t-elle un avenir ?" s’est tenu jeudi 21 octobre 2021, dans le cadre des séminaires Terrains d’Apprentissage organisés par la cellule BEA . Cet atelier était animé par Caroline Aiello-Brottet (enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre et chargée de mission à la DRANE de Lyon), Xavier Garnier (enseignant en mathématiques) et Jean-Luc Martinez (professeur des écoles et chargé d’étude à l’IFÉ-ENS de Lyon).