Les rencontres nationales de la mixité sociale à l’école ont été organisées les 15 et 16 février 2022 à Toulouse par le réseau mixité à l’école du Cnesco/Cnam, avec le soutien du conseil départemental de Haute-Garonne qui les a hébergées, l’Université Toulouse Jean-Jaurès, le GRESCO Université de Limoges, l’Institut français de l’éducation (IFE-ENS de Lyon) et du rectorat de l’académie de Toulouse. Elles avaient pour objectif de capitaliser et valoriser les expériences de mixité à l’école engagées de manière significative dans certains territoires depuis le lancement d’une expérimentation par le ministère fin 2015, afin d’en analyser les acquis, les leviers, mais aussi les limites et les obstacles et donner une nouvelle impulsion nationale dans un domaine qui n’était plus réellement prioritaire depuis 2017. Elles visaient à enrichir le vadémécum publié en 2016 pour jeter les bases d’un référentiel partagé, définissant collectivement les attendus de cette démarche et répertoriant, avec les acteurs de terrain, les leviers d’action repérés en évaluant leur impact dans la mise en oeuvre du dispositif.

Est-ce qu'il y aura des professeurs devant tous les élèves à la rentrée ? Académies en manque d'enseignant.es, pénuries de candidat.es dans certaines disciplines, démissions,..pourquoi la "crise du recrutement" est elle récurrente et en quoi la situation d'aujourd'hui est-elle inédite ?

Ce double numéro de Diversité – et les 28 contributions qui le composent – propose d’expliciter et analyser les transformations qui le traversent (parties 1 et 2) et leurs impacts sur les formations telles qu’elles se déploient (partie 3) comme sur les parcours des étudiants (partie 4). Car, avec sa généralisation, il est urgent de prendre conscience que l’enseignement supérieur occupe une nouvelle place dans la société. Parce qu’il n’est plus réservé à une élite, et même s’il reste particulièrement fragmenté et segmenté, il est devenu l’horizon commun pour l’ensemble des générations présentes et à venir. C’est donc là, plus qu’avant, que se définira le monde de demain et s’élaboreront les connaissances et les outils qui permettront de faire société et de rendre notre monde habitable durablement.

À la suite du Dossier de veille n° 143 « Former à enseigner : activité(s), mutations, tensions », ce nouvel EduBref « Former à enseigner, c’est du travail ! » revient en quatre pages sur la nature et le sens du travail des formateurs et formatrices d’enseignantes et d’enseignants. Il met en avant les principaux défis de cette fonction, qui s’exerce aujourd’hui dans un cadre institutionnel en profond renouvèlement. Comment se projeter dans cette mission à partir d’un premier métier dans l’enseignement, l’encadrement, ou la recherche universitaire ? Quelles tâches ces accompagnateur·rices du développement professionnel des enseignant·es accomplissent-ils/elles au quotidien, et grâce à quelles ressources ? Comment articuler les tâches, les espaces de travail, et les buts poursuivis par les différents acteur·rices de l’ingénierie de formation et de l’ingénierie pédagogique ? Positionné à l’interface entre le terrain de la classe et de l’établissement, et les politiques publiques éducatives, le travail de médiation des formateur·rices d’enseignant·es prend aussi pour objet les recherches en éducation, qu’ils et elles contribuent à traduire au bénéfice des apprentissages des enseignant·es et des élèves. L’EduBref n°15 « former à enseigner, c’est du travail ! » vise donc à mieux faire (re)connaitre les situations de travail ordinaire des formateur·rices d’enseignant·es : leurs caractéristiques, les tensions qui les traversent et leurs dynamiques actuelles pour faire vivre ce métier.

Exerçant leurs fonctions dans un contexte professionnel en profonde mutation, les formateur·rices d’enseignant·es sont aujourd’hui confronté·es à un défi majeur : articuler attentes du terrain, positionnement institutionnel et mobilisation des recherches au service des apprentissages de l’ensemble des élèves.

Dans cet épisode nous vous parlons du projet Linda de l’académie de Nancy Metz. Linda c’est le nom de la mini-série anglophone réalisée et interprétée par des élèves de troisième du collège Charles Guérin de Lunéville. 

Viva la Frida ! est plus qu'un projet : c'est un évènement, organisé dans le but de mettre à l'honneur la figure phare de Frida Kahlo. Coordonnant cinq lycées professionnels et technologiques de l'Académie de Nice, il met en scène les compétences de divers métiers pour livrer une véritable aventure sensorielle, menée par les étudiants eux-mêmes au Parc Phoenix de Nice.  

Découvrez deux projets qui qui concernent les élèves d'UPE2A. Le premier ADO COSMO est porté par l’académie de Créteil. Le second :Langues et mathématiques est porté par l’académie d’Amiens. Deux projets très différents qui ont pour point commun de faire de la diversité un levier pour les apprentissages.

Découvrez le projet intitulé « Labo-Maths » porté par l'École Jean Calas de Ferney-Voltaire de l’académie de Lyon. Ce projet a pour objectif d’enseigner les mathématiques de manière innovante, en articulant la pratique des mathématiques autour de quatre ateliers dans la classe.

Le Speed-booking, c'est un dispositif didactique qui s'inspire du Speed-dating pour séduire les élèves et les familiariser à la lecture. Mis en place par le Collège Hégésippe Hoarau à la Rivière Saint-Louis (Académie de la Réunion), ce projet s'appuie sur une suite de rencontres au cours desquelles les élèves mettent en voix un discours persuasif. Le but ? Donner envie de rencontrer le livre lu.