La correction écrite de l’enseignant est un pratique invisible : elle est peu reconnue par les élèves, par l’institution et elle est peu commentée par les acteurs eux-mêmes. Pourtant les positions de lecteur et de correcteur génèrent des tensions puisqu’il y a à la fois subjectivité inhérente à tout acte de lecture et référence peu consciente à ce que le correcteur pense être un bon texte. Pour comprendre comment ces tensions jouent sur le travail écrit des professeurs, a été constitué un corpus de copies d’élèves de 4ème, 3ème et seconde corrigées par plusieurs PLC2 et professeurs en formation continue. L’analyse comparée des corrections permet de dégager des constantes, au-delà des routines automatisées, déclinées ici en cinq types de corrections.
Caractéristiques : 29 min
Editeur : INRP
Couverture : Pays francophones
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