Les projets à l’école : à quelles conditions favorisent-ils l’apprentissage ?

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Publié le 08 octobre 2019
Alors que le « mode projet » est une mode en soi, ce nouvel Edubref se penche sur le processus d’apprentissage des élèves ou des étudiant.e.s lorsqu’elles/ils réalisent un projet en classe. Faut-il leur laisser tout chercher elles-mêmes ou eux-mêmes ? Faut-il les guider le plus possible ? Apprennent-elles vraiment des contenus et développent-elles des compétences pour tous les projets réalisés ?
Pour les professionnelles de l’éducation, les projets pédagogiques sont encouragés et réalisés depuis plusieurs décennies, mais reposent le plus souvent sur l’engagement de certaines enseignantes qui doivent tout construire de A à Z. En effet, l’organisation scolaire centrée sur l’aspect disciplinaire et la pression des examens ne laissent pas toujours, selon une idée répandue, le « loisir » de faire des projets.
C’est pour étudier ce qui pousse les enseignant.e.s et les établissements à pratiquer malgré tout ce « loisir » que le projet Erasmus+ Cross-curricular Teaching (CROSSCUT) a été lancé en 2016. S’intéressant à la thématique plus large de l’interdisciplinarité, il étudie les freins et les leviers dans la mise en place de différentes pratiques interdisciplinaires, dont les projets, et propose une formation aux enseignantes du secondaire. Il est évoqué dans cet Edubref.


Cet Edubref aborde l’apprentissage par projet et sa mise en œuvre en classe.


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