Myriam Baron est professeur de géographie à l’Université Paris Est Créteil. Une partie de ses travaux de recherche portent sur les caractéristiques du système universitaire français, les dynamiques qui l’ont traversé au cours des 50 dernières années et sur les mobilités étudiantes et leurs rapports aux territoires. En liens avec cet ensemble de travaux, elle s’est intégrée dans un groupe de recherche sur les régions européennes en décroissance. Elle participe également, dans le cadre d’une réflexion pluridisciplinaire, à la construction d’une histoire spatialisée des institutions scientifiques françaises depuis le début du XVIIe siècle et à la constitution d’une base de données mondiale sur les productions et les coopérations scientifiques. Une autre partie de ses travaux est consacrée aux conséquences territoriales de la révolution tunisienne.
BARON M., ECKERT D., JEGOU L., 2016, « Un « tout petit » monde scientifique », in Christian GRATALOUP et Gilles FUMEY (dir.), L’atlas global, 2e édition, Paris, Les Arènes, 68-71.
HADROSSEK C., BARON M., GRASLAND C., LAMBERT N., DE RUFFRAY S., ZANIN C., 2016, Maillages territoriaux, Démocratie et Election. Recueil de Proceedings – colloque international de Monastir, Paris, Université Paris Diderot.
BARON M., 2016, « Les universités franciliennes entre centralités malmenées et polycentrisme inachevé », in Eleonore MARANTZ et Stéphanie MECHINE (dir.), Construire d’Université. Architectures universitaires à Paris et en Ile-de-France (1945-2000), Paris, Publications de la Sorbonne, coll. Histoire de l’Art 23, 85-98.
BARON M., FROUILLOU L., 2016, « La structuration du paysage universitaire francilien. Ce que disent les représentations et les parcours étudiants », in Florence BOURILLON, Eléonore MARANTZ, Stéphanie MECHINE et Loïc VADELORGE (dir.), De l’Université de Paris aux universités d’Ile-de-France, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, coll. HISTOIRE, 311-323.