Mathias Millet
Professeur.e des universités, directeur.rice de recherche ou assimilé
Université François-Rabelais de Tours
France
mathias.millet [at] univ-tours.fr

Adresse Professionnelle
Université François Rabelais de Tours
3 rue des Tanneurs
37041 Tours
France
Sur le web


  Disciplines
  •  Sociologie


  • Thématiques de recherche

    - Sociologie de la socialisation

    - Sociologie de l'éducation

    - Sociologie des milieux populaires

     


    Catégorie(s)
  • Inégalités scolaires et sociales
  • Curriculum et contenus d'enseignement
  • Apprentissages et difficultés d'apprentissage
  • Parcours d'études et lien formation/emploi

  • Niveau
  • enseignement primaire
  • petite enfance et éducation pré-primaire
  • premier cycle de l'enseignement secondaire
  • enseignement post-secondaire ou premier cycle de l'enseignement supérieur

  • Mots clés

    Publications majeures
    • Millet M., Croizet J.-C. (2016), L’école des incapables ? La maternelle, un apprentissage de la domination, Paris, La Dispute, coll. L’enjeu scolaire. 
    • Kherroubi M., Millet M., Thin D. (2015), Désordre scolaire. L’école, les familles et les dispositifs relais, Paris, éditions Pétra, coll. Education, art du possible.
    • Millet M., Thin D. (2012, 2e édition) Ruptures scolaires. L’école à l’épreuve de la question sociale, Paris, Presses universitaires de France, coll. Le lien social.
    • Millet M., Moreau G. (dir.) (2011), La société des diplômes, Paris, La Dispute, coll. État des lieux.
    • Millet M. (2016), « Système éducatif suisse, modes de socialisation et formes de conscience. », Formation Emploi. Revue française de sciences sociales, postface au dossier sur la formation professionnelle suisse coordonné par Nadia Lamamra et Gilles Moreau, n°133, pp. 215-228.
    • Millet M., Croizet J.-C. (2016), « L’école maternelle comme première expérience de l’inégalité culturelle », Diversité, n°183, pp. 29-34.
    • Millet M., Thin D. (2012), « L’ambivalence des parents de classes populaires à l’égard des institutions de remédiation scolaire. L’exemple des dispositifs relais », Sociétés contemporaines, N°86, pp. 59-83.
    • Bodin R., Millet M. (2011), « L’université, un espace de régulation. L’abandon dans les 1ers cycles à l’aune de la socialisation universitaire. », Sociologie, N°11, Vol 2, pp. 225-242.
    • Millet M. (2015), « L’orientation en dispositif relais, un glissement vers les marges », in Marie Hélène Jacques (dir.), Les transitions scolaires. Paliers, orientations, parcours, Rennes, Presses universitaires de Rennes, pp. 307-314.
    • Millet M., Thin D. (2014), « De la rupture à la remédiation scolaire, et après ? L’exemple de collégiens passés par une classe relais. », in T. Berthet, J. Zaffran, Le décrochage scolaire. Enjeux, acteurs et politiques de lutte contre la déscolarisation, Presses universitaires de Rennes, pp. 127-154.
    • Millet M. (2012), « L’“échec” des étudiants de premiers cycles universitaires en France. Retours sur une notion ambiguë et descriptions empiriques. », in M. Romainville, C. Michaut, Réussite, échec et abandon dans l’enseignement supérieur, Bruxelles, De Boeck, pp. 69-88.
    • Croizet J.-C., Millet M. (2011), « Social Class and Test Performance : From Stereotype Threat to Symbolic Violence and Vice Versa », in M. Inzlicht, T. Schmader (éds), Stereotype Threat : Theory, Process and Application, New York, Oxford University Press, pp. 188-201
    • Millet M., Thin D. (2011), « La “déscolarisation” comme parcours de disqualification symbolique », in D. Glasman, F. Oeuvrard (dir.), La déscolarisation, Paris, La Dispute, pp. 281-294.