Veille If?

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Bibliographie de la veille de l’Ifé

DV-106-nouveaux-etudiants.

2012


  • AFAE (2012). De Bac moins 3 à Bac plus 3. Administration Et Éducation, vol. 133, n° 1, p. .
  • Annoot Emmanuelle (2012). La réussite à l'université : du tutorat au plan licence. Bruxelles : De Boeck Supérieur.
    Résumé : La réussite des étudiants à l’université ou, plus précisément, la lutte contre l’échec en premier cycle est un axe majeur des politiques de l’enseignement supérieur français lors de cette dernière décennie. De plus, cette période a été marquée par de profonds bouleversements avec la participation des établissements au processus de Bologne et la proclamation de la loi du 10 août sur les libertés et responsabilités des universités. Aujourd’hui, les enseignants du supérieur vivent ces changements dans leurs pratiques quotidiennes. Que signifie faire réussir les étudiants dans l’université du XXIe siècle ? Quelles politiques et pratiques pédagogiques ont été mises en œuvre ? En quoi transforment-elles le métier d’enseignant du supérieur ? Comment évaluer le chemin parcouru ? À l’heure de la construction d’une société de la connaissance, cet ouvrage apporte une contribution essentielle à la définition d’une véritable démocratisation à l’université tant pour l’accès aux études supérieures que pour la formation des étudiants

  • Danquigny Thierry (2012). Manifestation culturelle du numérique. In  (p. 27-32). Présenté à Quatrieme rencontre jeunes chercheurs en EIAH, Amiens, université Jules Vernes.
    Résumé : Danquigny Thierry, (2012), Manifestation culturelle du numérique, Quatrième rencontre jeunes chercheurs en EIAH, Université Jules Vernes, Amiens, France, 23 et 24 mai

  • Fradet Anthony, Pelage Olivia & Leroux Jean-Baptiste (2012). Accès, usages et perception des ressources pédagogiques dans l'enseignement supérieur (No. 1101619) (p. 41). Lyon : Enssib. Consulté à l'adresse http://www.enssib.fr/recherche/observatoire-numerique

  • Fusaro Magda & Couture Annie (2012). Étude sur les modalités d’apprentissage et les technologies de l’information et de la communication dans l’enseignement. Rapport du Groupe de travail sur l’étude des usages des technologies de l’information et de la communication dans l’enseignement (p. 97). Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CRÉPUQ). Consulté à l'adresse http://www.crepuq.qc.ca/spip.php?article1416&lang=fr
    Résumé : La Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), par l’entremise du Sous-comité sur la pédagogie et les technologies de l’information (SCPTIC), présente les résultats d’une vaste étude réalisée en 2011 sur les usages des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans l’enseignement universitaire au Québec. Si diverses enquêtes ont été réalisées au cours des dernières années au Québec, l’étude de la CREPUQ se distingue par son ampleur, par le fait que deux populations ont été consultées simultanément, soit les étudiants et les enseignants, et par la profondeur du questionnaire utilisé. Ainsi, ce sont 15 020 étudiants et 2 640 enseignants provenant de 12 des 16 universités québécoises qui ont pris part à cette étude. Au total, ce sont presque 18 000 personnes qui se sont prononcées sur les modalités d’apprentissage et les pratiques pédagogiques et technologiques. Le point de vue exprimé par ces intervenants permet de comprendre pour quelles raisons et à quelles conditions, il est possible de parler de succès ou d’échec de l’intégration des TIC dans l’éducation supérieure au Québec.


  • Giret Jean-François & Issehnane Sabina (2012). L’effet de la qualité des stages sur l’insertion professionnelle des diplômés de l’enseignement supérieur. Formation Emploi. Revue Française De Sciences Sociales, n° 117, p. 29-47. Doi : 10.4000/formationemploi.3514
    Résumé : Quelle est la valeur professionnelle des stages suivis par les étudiants au cours de leur formation ? L’enquête Génération 2004 du Céreq collecte les caractéristiques du stage le plus long effectué par le jeune. Une typologie distingue quatre grandes catégories de stages. Le type de stage effectué est étroitement associé aux formations suivies par les jeunes : en général, plus la formation est élevée, prestigieuse et sélective, plus le stage sera gratifié et formateur. Les analyses montrent que les différents types de stages n’ont pas les mêmes effets sur l’insertion professionnelle, et ce à formation identique. En effet, « toutes choses égales par ailleurs », plus le stage est gratifié et formateur, plus les jeunes ont de chances de trouver des emplois mieux rémunérés sur le marché du travail.
    Mots-clés : diplôme, enquête d’insertion, enseignement supérieur, insertion professionnelle, stage de formation.

  • Henriet Alain & Pietryk Gilbert (2012). Analyse de l'orientation et des poursuites d'études des lycéens à partir de la procédure admission post-bac (Rapport IGEN No. 2012-123) (p. 85). Paris : Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche. Consulté à l'adresse http://www.education.gouv.fr/cid66877/analyse-de-l-orientation-et-des-poursuites-d-etudes-des-lyceens-a-partir-de-la-procedure-admission-post-bac.html
    Résumé : Analyse de l'orientation et des poursuites d'études des lycéens à partir de la procédure admission post-bac Rapport IGEN - Octobre 2012 Depuis 2009, le dispositif d’information et d’admission dans les formations post-baccalauréat s’appuie de façon généralisée sur un outil créé à cet effet, le portail national admission post-bac (APB). En 2012, 682 000 personnes ont postulé à une ou plusieurs des 10 440 formations recensées dans APB. Les constats tirés de la mise en œuvre d’APB sont analysés dans ce rapport au travers de trois parties : - la première est centrée sur l’efficacité d’APB pour le recueil des candidatures, la satisfaction des vœux émis et l’optimisation des propositions d’affectation ; - la deuxième s’intéresse au processus d’orientation des lycéens en prenant en compte l’ensemble des mesures prises ces dernières années pour accompagner le lycéen dans l’élaboration de son projet d’orientation ; - la troisième vise à caractériser l’évolution des flux des élèves sortant de la classe terminale à partir de la base de données très riche que constitue APB.

  • Lambert-Le Mener Marielle (2012). La performance académique des étudiants en première année universitaire : influence des capacités cognitives et de la motivation. Université de Bourgogne, Dijon.
    Résumé : La question de la réussite des étudiants en première année universitaire est présente dans les préoccupations politiques actuelles au regard de l’échec massif la caractérisant. L’enjeu de cette thèse réside dans la compréhension des mécanismes qui régissent la réussite universitaire, en adoptant une démarche quantitative et intégrative. A cette fin, des données ont été récoltées sur un peu plus de 700 étudiants en première année de Licence de trois filières (AES, Droit et Psychologie) à l’Université de Bourgogne. Les informations recueillies permettent de contrôler un ensemble de facteurs relatifs aux caractéristiques socio-démographiques et scolaires des étudiants. Deux focus plus spécifiques caractérisent cette thèse : une mesure fine des capacités cognitives des étudiants à leur entrée à l’université et une mesure de leur motivation en cours d’année. Il ressort que le passé scolaire des étudiants est un déterminant particulièrement fort dans la prédiction de la réussite universitaire. Ce déterminisme scolaire est cependant nuancé par l’effet indirect de l’origine sociale, établissant la persistance d’inégalités sociales de réussite au niveau universitaire. Les capacités cognitives exercent elles aussi un effet médiatisé par le parcours scolaire, jouant positivement sur la réussite. A ces facteurs déterminés préalablement à l’entrée à l’université, s’ajoute le projet personnel de l’étudiant. Un choix établi par intérêt pour la discipline augure de meilleures chances de réussite. Les capacités motivationnelles de l’étudiant se répercutent quant à elles plus directement sur la réussite. Mesurée dans le cadre de la théorie de l’autodétermination, la motivation intrinsèque exerce une influence positive tandis que l’amotivation se traduit par de moins bonnes performances. Par ailleurs, la motivation est un atout pour les bons étudiants, mais ne joue qu’un rôle plus modéré pour les étudiants moyens et même nul pour les plus faibles. Ce résultat est éclairé par l’effet positif du sentiment de compétence sur la réussite, médiatisé par une motivation intrinsèque plus élevée.

  • Ménard Louise (2012). Apprentissage en classe et persévérance au premier cycle universitaire. In  Marc Romainville & Christophe Michaut (Éd.), Réussite, échec et abandon dans l’enseignement supérieur (p. 177-198). Bruxelles : De Boeck.

  • Michaut Christophe (2012). Réussite, échec et abandon des études dans l’enseignement supérieur français : quarante ans de recherche. In  Marc Romainville & Christophe Michaut (Éd.), Réussite, échec et abandon dans l'enseignement supérieur (p. 53-68). Bruxelles : De Boeck.


  • Morlaix Sophie & Suchaut Bruno (2012). Les déterminants sociaux, scolaires et cognitifs de la réussite en première année universitaire. Revue Française De Pédagogie. Recherches En Éducation, n° 180, p. 77-94. Doi : 10.4000/rfp.3809
    Résumé : L’objectif principal de cette recherche est de mieux comprendre l’articulation entre les différents facteurs qui agissent sur la réussite des étudiants au terme de la première année à l’université. Une originalité de la démarche est d’intégrer aux modèles explicatifs de la réussite des indicateurs spécifiques des compétences des étudiants à leur entrée à l’université : mesures des performances académiques (niveau en compréhension de l’écrit) et des capacités cognitives. Les analyses mettent en évidence le poids très fort du passé scolaire (retard scolaire, série et mention du baccalauréat) ; le niveau en compréhension de l’écrit et les capacités cognitives ne jouent, à eux seuls, qu’un rôle limité pour expliquer les différences de réussite entre étudiants, l’essentiel de l’influence de ces variables s’étant exprimé auparavant tout au long de la scolarité. En outre, les étudiants pour lesquels le choix de la filière repose sur un projet professionnel réussissent mieux que les autres.
    Mots-clés : compétence, enseignement supérieur, évaluation, parcours scolaire, résultats de l’éducation.

  • Neuville Sandrine & Frenay Mariane (2012). La persévérance des étudiants de 1er baccalauréat à la lumière du modèle expectancy-value. In  Marc Romainville & Christophe Michaut (Éd.), Réussite, échec et abandon dans l’enseignement supérieur (p. 157-175). Bruxelles : De Boeck.

  • Pedró Francesc (2012). Connected Minds. Technology and Today's Learners. Paris : OCDE.
    Résumé : In all OECD countries, digital media and connectedness are integral to the lives of today’s learners. It is often claimed that these learners are "new millennium learners", or "digital natives", who have different expectations about education. This book contributes to the debate about the effects of technology attachment and connectedness on today’s learners, and their expectations about teaching. The book sets out to answer the following questions: Can the claim that today’s students are "new millenium learners" or "digital natives be sustained empirically? Is there consistent research evidence demonstrating the effects of technology on cognitive development, social values, and learning expectations? What are the implications for educational policy and practice?
  • Romainville Marc & Michaut Christophe (2012). Réussite, échec et abandon dans l'enseignement supérieur. Bruxelles : De Boeck.
    Résumé : Depuis son fort développement dans le dernier tiers du XXe siècle, l’enseignement supérieur est confronté à des taux d’échec et d’abandon élevés qui sont régulièrement dénoncés comme autant de gaspillages sociaux, humains et financiers. De surcroît, il lui est demandé d’élever le niveau de formation des jeunes tout en faisant preuve d’une plus grande justice sociale. Face à ces impératifs, les établissements sont incités à lutter contre l’échec et les étudiants contraints à réussir leurs études. Mais que signifie « réussir des études » ? Accéder à la formation et à l’établissement désirés, atteindre un certain niveau d’études, acquérir des compétences utiles sur le marché du travail ou seulement obtenir le diplôme ? Et quels facteurs sont associés à la réalisation d’un parcours réussi ? Le phénomène apparaît bien plus complexe qu’il n’en a l’air : il dépend à la fois des conditions d’accès et de sélection des établissements, des pratiques pédagogiques des enseignants et des caractéristiques des étudiants. Par ailleurs, certaines structures d’enseignement supérieur mettent en place des politiques et des dispositifs de détection et de prévention du décrochage et de d’abandon des études. Sont-ils efficaces et équitables ? Réunissant les contributions de chercheurs en économie, en psychologie, en sciences de l’éducation et en sociologie, l’ouvrage tente de répondre à ce problème social en offrant une synthèse des travaux récents dans des contextes nationaux variés (Belgique, France, Québec, Suisse).

  • Serres Michel (2012). Petite poucette. Paris : Le Pommier.
    Résumé : Le monde a tellement changé que les jeunes doivent tout réinventer. Nos sociétés occidentales ont déjà vécu deux révolutions: le passage de l'oral à l'écrit, puis de l'écrit à l'imprimé. Comme chacune des précédentes, la troisième, tout aussi décisive, s'accompagne de mutations politiques, sociales et cognitives. Ce sont des périodes de crises. De l'essor des nouvelles technologies, un nouvel humain est né: Michel Serres le baptiste <<Petite Poucette>> -- clin d'oeil à la maestria avec laquelle les messages fusent de ses pouces. Petite Poucette va devoir réinventer une manière de vivre ensemble, des institutions, une manière d'être et de connaître ... Débute une nouvelle ère qui verra la victoire de la multitude, anonyme, sur les élites dirigeantes, bien identifiées; du savoir discuté sur les doctrines enseignées; d'une société immatérielle librement connectée sur la société du spectacle à sens unique ... Ce livre propose à Petite Poucette une collaboration entre générations pour mettre en ceuvre cette utopie, seule réalité possible.

2011


  • Biggs John Burville, Tang Catherine So-kum & Society for Research into Higher Education (2011). Teaching for quality learning at university (4ᵉ éd.). Maidenhead :McGraw-Hill : Open University Press.

  • Bodin Romuald & Millet Mathias (2011). L'université, un espace de régulation. L'« abandon » dans les 1ers cycles à l'aune de la socialisation universitaire. Sociologie, vol. 2, n° 3, p. 225-242.
    Résumé : La récente multiplication de rapports ministériels, d’essais et d’articles plus ou moins grand public, ainsi que de travaux scientifiques insistant sur l’existence de taux « catastrophiques » d’« abandon » dans les 1ers cycles universitaires invite au réexamen d’un certain nombre de questions concernant l’université. Quels liens existe-t-il entre les transformations sociodémographiques du public de l’enseignement supérieur et les pratiques de non-réinscription ou de réorientation qui marquent la scolarité d’un grand nombre d’étudiants ? A-t-on raison d’interpréter ces pratiques étudiantes comme le résultat d’« échecs » individuels ou de défaillances institutionnelles ? Ces pratiques présentent-elles des variations en fonction des propriétés spécifiques des filières d’études fréquentées ? Après une analyse critique de ce qu’il est possible d’appeler le « paradigme de l’échec » et sur la base d’une enquête quantitative et qualitative approfondie réalisée au sein de l’académie de Poitiers, l’« abandon » dans les premiers cycles est saisi comme le résultat d’un processus de régulation des aspirations étudiantes et plus généralement des flux successifs de nouveaux bacheliers, redistribuant les étudiants, selon leurs caractéristiques sociales et scolaires, dans les différents secteurs de l’enseignement supérieur, et participant par ce biais au maintien des hiérarchies sociales et universitaires. Ainsi réexaminés, les taux de non-réinscription ne s’avèrent réductibles ni à une simple défaillance institutionnelle ni à la simple agrégation de choix et d’« échecs » individuels. Il s’agit bien d’un « fait social », au sens de Durkheim, dont on peut saisir l’aspect différentiel via la notion de matrice disciplinaire


  • Bourgin Joëlle (2011). Les pratiques d'enseignement dans l'université de masse : les premiers cycles universitaires se scolarisent-ils ? Sociologie Du Travail, vol. 53, n° 1, p. 93-108. Doi : 10.1016/j.soctra.2010.12.005
    Résumé : Cet article cherche à caractériser les pratiques des enseignants dans les premiers cycles universitaires généraux, alors que s'accentue la dualisation du système d'enseignement supérieur et que se multiplient les injonctions à la diminution des indicateurs d'échec. Après avoir présenté les notions de formes scolaire et universitaire comme modèles possibles du rapport pédagogique, nous éprouvons, à partir d'une enquête de terrain, l'hypothèse d'une scolarisation des diplômes d'étude universitaire généraux (DEUG) au début des années 2000. Il existe bien des tendances à la scolarisation, dont nous décrivons les manifestations généralisées (comme la psychologisation des pratiques) et les variations selon les disciplines. Ces tendances demeurent cependant superficielles et peu efficientes ; elles se superposent à une forte orientation vers la recherche et la reproduction du corps scientifique. C'est ainsi finalement en envisageant le premier cycle comme une phase de latence que les universitaires y déploient leur activité pédagogique.
    Mots-clés : Direct observation, Enseignants, Faculty members, Forme scolaire, Knowledge, Massification, Observation directe, Pratiques, Rapport pédagogique, Savoirs, Teacher-student relations, Teaching practices, Université, University.

  • Bullen Mark, Morgan Tannis & Qayyum Adnan (2011). Digital Learners in Higher Education: Generation is Not the Issue. Canadian Journal Of Learning And Technology, vol. 37, n° 1, p. .
    Résumé : Generation is often used to explain and rationalize the use of information and communication technologies (ICTs) in higher education. However, a comprehensive review of the research and popular literature on the topic and an empirical study at one postsecondary institution in Canada suggest there are no meaningful generational differences in how learners say they use ICTs or their perceived behavioural characteristics. The study also concluded that the post-secondary students at the institution in question use a limited set of ICTs and their use is driven by three key issues: familiarity,...

  • Jones Christopher & Shao Binhui (2011). The Net Generation and Digital Natives: Implications for Higher Education (p. 56). York : Higher Education Academy (HEA). Consulté à l'adresse http://oro.open.ac.uk/30014/
    Résumé : Authors such as Tapscott (1999, 2009), Howe and Strauss (1991, 2000), Prensky (2001a, 2001b, 2009, 2010), Oblinger and Oblinger (2005), Palfrey and Gasser (2008) and others have argued that because today‟s generation of young people have been immersed in a world infused with networked and digital technologies, they behave differently to previous generations. It is claimed that they think differently, they learn differently, they exhibit different social characteristics and have different expectations about life and learning. Some have even gone further claiming that the brains of students today are „physically different‟ (Prensky, 2001b) from earlier generations of students because of the students‟ early immersion in technology. The new generation of students are said to prefer receiving information quickly, relying on communication technologies, often multitasking and having a low tolerance for lectures, preferring active rather than passive learning (see for example Tapscott 1999; Oblinger, 2003; Oblinger and Oblinger, 2005). (...)
  • Kennedy Gregor E. & Judd Terry S. (2011). Beyond Google and the "Satisficing" Searching of Digital Natives. In  Michael Thomas (Éd.), Deconstructing Digital Natives. Young People, Technology, and the New Literacies (p. 119-136). New York ; London : Routledge.


  • Margaryan Anoush, Littlejohn Allison & Vojt Gabrielle (2011). Are digital natives a myth or reality? University students’ use of digital technologies. Computers &Amp; Education, vol. 56, n° 2, p. 429-440. Doi : 10.1016/j.compedu.2010.09.004
    Résumé : This study investigated the extent and nature of university students’ use of digital technologies for learning and socialising. The findings show that students use a limited range of mainly established technologies. Use of collaborative knowledge creation tools, virtual worlds, and social networking sites was low. ‘Digital natives’ and students of a technical discipline (Engineering) used more technology tools when compared to ‘digital immigrants’ and students of a non-technical discipline (Social Work). This relationship may be mediated by the finding that Engineering courses required more intensive and extensive access to technology than Social Work courses. However, the use of technology between these groups is only quantitatively rather than qualitatively different. The study did not find evidence to support popular claims that young people adopt radically different learning styles. Their attitudes to learning appear to be influenced by lecturers’ teaching approaches. Students appear to conform to traditional pedagogies, albeit with minor uses of tools delivering content. The outcomes suggest that although the calls for transformations in education may be legitimate it would be misleading to ground the arguments for such change in students’ shifting patterns of learning and technology use.


  • Nicourd Sandrine (2011). Les processus de socialisation des étudiants de la démocratisation universitaire. Recherches Sociologiques Et Anthropologiques, n° 42-2, p. 73-87. Doi : 10.4000/rsa.728
    Résumé : Cet article, fondé sur une recherche longitudinale sur une population étudiante de deux universités de la région parisienne, montre les processus de socialisation à l’université. Ils sont autant liés aux trajectoires intergénérationnelles qu’aux conditions concrètes dans lesquelles les étudiants trouvent progressivement place à l’université. La pluralité des trajectoires met en évidence la complexité des mécanismes de promotion sociale pour les étudiants issus de la démocratisation universitaire et la faiblesse des supports proposés par les universités pour permettre ce cheminement.


  • Raby Carole, Karsenti Thierry, Meunier Hélène, et al. (2011). Usage des TIC en pédagogie universitaire : point de vue des étudiants. Revue Internationale Des Technologies En Pédagogie Universitaire, vol. 8, n° 3, p. 6. Doi : 10.7202/1006396ar

  • Deconstructing digital natives: Young people, technology, and the new literacies (2011). Deconstructing digital natives: Young people, technology, and the new literacies (M. Thomas, Éd.). New York ; London : Routledge.
    Résumé : There have been many attempts to define the generation of students who emerged with the Web and new digital technologies in the early 1990s. The term "digital native" refers to the generation born after 1980, which has grown up in a world where digital technologies and the internet are a normal part of everyday life. Young people belonging to this generation are therefore supposed to be "native" to the digital lifestyle, always connected to the internet and comfortable with a range of cutting-edge technologies. Deconstructing Digital Natives offers the most balanced, research-based view of this group to date. Existing studies of digital natives lack application to specific disciplines or conditions, ignoring the differences of educational fields and gender. How, and how much, are learners changing in the digital age? How can a more pluralistic understanding of these learners be developed? Contributors to this volume produce an international overview of developments in digital literacy among today’s young learners, offering innovative ways to steer a productive path between traditional narratives that offer only complete acceptance or total dismissal of digital natives.

2010


  • Bart Daniel & Fournet Michel (2010). Le projet professionnel et personnel des étudiants, assise de leur professionnalisation ? Revue Internationale De Pédagogie De L’enseignement Supérieur, n° 26-1, p. .
    Résumé : Cet article rend compte de la structuration des projets d’étudiants participant à une formation professionnalisante de second cycle universitaire (Master) et de la manière dont ces derniers « traduisent » le programme de formation en appui « stratégique » à leur développement professionnel. L’analyse des réponses de ces étudiants à une enquête par questionnaire permet de mieux comprendre les conditions d’émergence des projets et d’en dégager les différents agencements autour de trois composants majeurs : 1) les éléments d’une visée ; 2) les représentations d’un programme de formation ; et 3) les moyens personnels acquis de l’expérience. Nous montrons également en quoi ces projets soutiennent la pluralité des engagements et des apprentissages des étudiants. En conclusion, nous soulignons que cette recherche appelle des aménagements pédagogiques tenant compte de la configuration des projets mise au jour et de leur rôle de support du processus de professionnalisation.
    Mots-clés : formation à projets, formation universitaire professionnelle, master, professionnalisation, projet étudiant.
    Pièce jointe Full Text PDF 458.8 ko (source)

  • Endrizzi Laure (2010). Réussir l'entrée dans l'enseignement supérieur. Dossier D'actualité, n° 59, p. 23.
    Résumé : Si la massification de l'enseignement supérieur est avérée, sa démocratisation reste partielle. Les inégalités n'ont en effet pas disparu, elles se sont déplacées. La transition secondaire / supérieur reste marquée par l'auto-sélection et la composition sociale des différentes filières, sélectives ou non, reste typée. Les phénomènes d'échec et d'abandon sont massivement constatés en France comme ailleurs : un étudiant sur cinq sortant de l'enseignement supérieur est toujours non diplômé trois ans après dans l'hexagone. Les facteurs contextuels et individuels prédisant ces difficultés sont désormais connus. À titre d'exemple, les chances de réussite sont significativement moindres pour un garçon d'une famille ouvrière, titulaire d'un baccalauréat technologique et inscrit en L1 dans la filière AES, ou pour une fille issue d'un milieu modeste, ayant obtenu son baccalauréat en retard et sans mention, inscrite en licence de psychologie. Mais une telle catégorisation ne saurait rendre compte de l'ensemble des difficultés qui touchent l'entrée dans le métier d'étudiant : ceux qui échouent sont parfois aussi ceux qui réussissaient au lycée et qui ne parviennent pas à s'adapter à leur nouvel environnement. La capacité des étudiants à anticiper ces difficultés et à trouver des alternatives est considérée comme déterminante. La diversité des parcours et des expériences invite donc à relativiser le diagnostic de l'échec immédiat et à privilégier une approche multidimensionnelle de l'aide à apporter, en cohérence avec la complexité qui les caractérise. Il ne s'agit plus de mettre en place des dispositifs de tutorat pour pallier tous les échecs. L'aide à la réussite induit également des transformations en termes d'offre de formation (moins spécialisée au début), d'organisation pédagogique (meilleur encadrement, contrôle continu, etc.) et de pédagogie. (...)

  • Garcia Sandrine (2010). Déscolarisation universitaire et rationalités étudiantes. Actes De La Recherche En Sciences Sociales, vol. 183, n° 3, p. 48-57.
    Résumé : Cet article confronte les dispositifs mis en œuvre à l’université pour combattre les taux d’échec avec les rationalités étudiantes et, en particulier, le rapport à la contrainte résultant de leur trajectoire scolaire antérieure. Il n’est pas vrai que « l’université produit de l’échec » ; elle s’avère plutôt incapable de scolariser les étudiants qui la choisissent par défaut, de leur faire incorporer les dispositions « laborieuses » qui, en cas de faible capital scolaire à l’entrée, conditionnent la réussite à l’université. Au total, l’article montre que le modèle de la responsabilité individuelle de l’étudiant relève d’un choix politique.

  • Van Zanten Agnes (2010). L'ouverture sociale des grandes écoles : diversification des élites ou renouveau des politiques publiques d'éducation ? Sociétés Contemporaines, vol. 79, n° 3, p. 69-95.
    Résumé : Les politiques que l'on désigne comme participant de l'« ouverture sociale des grandes écoles » accordent divers avantages à de jeunes issus de groupes défavorisés afin de faciliter leur accès aux filières d'excellence de l'enseignement supérieur. Cet article s'intéresse plus particulièrement aux programmes « Conventions Éducation Prioritaire » de Sciences Po et « Pourquoi Pas Moi ? » de l'ESSEC. Dans le but de mieux cerner les visées et les effets globaux de ces dispositifs, le mode d'analyse adopté combine deux perspectives complémentaires. La première consiste à rapporter les phénomènes observés au problème public auquel ces politiques cherchent explicitement à répondre, celui de la diversification des établissements d'élite. La seconde, à les analyser en tant qu'innovations managériales susceptibles de transformer les instruments de la discrimination positive et les modes de gouvernance du système éducatif.


  • Verley Elise & Zilloniz Sandra (2010). L’enseignement supérieur en France : un espace segmenté qui limite l’égalisation des chances. Formation Emploi, n° 110, p. 5-18. Doi : 10.4000/formationemploi.2914
    Résumé : Alors que la part des étudiants inscrits à l’université tend à diminuer, les filières sélectives, parce qu’elles offrent des formations « prestigieuses » et/ou professionnalisantes, exercent une attractivité croissante. À l’heure de la stabilisation du nombre d’élèves et d’étudiants, les concurrences entre établissements s’aiguisent et conduisent à considérer l’enseignement supérieur comme un espace segmenté, ce quel que soit l’angle d’analyse retenu : profils social et scolaire, projets d’études, pratiques studieuses, conditions d’études et perspectives professionnelles. L’enquête « Conditions de vie » de l’Observatoire national de la vie étudiante permet de comparer jugements et anticipations des étudiants en premier cycle dans les différents segments de l’enseignement supérieur : universitaire, professionnalisant, sélectif.
    Mots-clés : Accès à l’enseignement supérieur, enquête, étudiant, filière de formation., inégalités.

2009



  • Beaupère Nathalie & Boudesseul Gérard (2009). Sortir sans diplôme de l'Université : Comprendre les parcours d'étudiants "décrocheurs. Paris : La Documentation française.
    Résumé : L'étude présentée ici est consacrée aux sorties sans diplôme de l'Université. Elle permet de penser autrement les parcours des étudiants " décrocheurs " de l'enseignement supérieur et plus seulement comme des parcours à risque. En effet, l'abandon des études universitaires se joue sur plusieurs registres et l'analyse sociologique du travail présenté ici permet d'éclairer les logiques et processus qui sous-tendent ces parcours. L'étude relate ainsi les récits de ces étudiants qui révèlent la diversité des situations d'abandon et des alternatives choisies ou subies. Cet ouvrage vient aussi compléter une synthèse de la littérature réalisée précédemment parue sur le sujet, sous le titre : L'Abandon des études supérieures.

  • Beffy Magali, Fougère Denis & Maurel Arnaud (2009). L’impact du travail salarié des étudiants sur la réussite et la poursuite des études universitaires. Economie Et Statistique, n° 422, p. 31-50.
    Résumé : Cet article est consacré à l’estimation des effets du travail salarié des étudiants sur leur réussite universitaire et leur décision de poursuite d’études. L’analyse repose sur des échantillons extraits des enquêtes Emploi conduites par l’Insee de 1992 à 2002. Ces échantillons sont restreints aux personnes en cours d’études initiales à l’université et préparant un diplôme universitaire de premier ou de second cycle (Deug, licence ou maîtrise). Sont exclus de l’analyse les étudiants dont l’emploi va de pair avec les études, en particulier les apprentis sous contrat et les stagiaires en formation. Les modèles estimés sont des modèles de type Probit à deux équations simultanées, la première expliquant l’occupation d’un emploi salarié par l’étudiant, la seconde sa réussite à l’examen de fin d’année, conjointement avec sa décision de poursuite des études pour l’un des modèles. Le temps de travail salarié est pris en compte en distinguant, dans un des modèles, les emplois de moins ou plus de 16 heures par semaine. Les résultats montrent que l’occupation d’un emploi régulier réduit significativement la probabilité de réussite à l’examen de fin d’année universitaire. S’ils ne travaillaient pas, les étudiants salariés auraient une probabilité plus élevée de 43 points de réussir leur année. Une analyse complémentaire montre que le cumul emploi-études n’a pas d’effet significatif sur la probabilité de poursuivre les études l’année suivante, quels que soient la filière et le niveau des études.
  • Chevaillier Thierry, Landrier Séverine & Nakhili Nadia (2009). Du secondaire au supérieur : Continuités et ruptures dans les conditions de vie des jeunes. Paris : Documentation Française.

  • Gruel Louis, Galland Olivier & Houzel Guillaume (2009). Les étudiants en France: histoire et sociologie d'une nouvelle jeunesse. Rennes : Presses universitaires de Rennes.
    Résumé : Au milieu du XXe siècle, les étudiants constituaient une frange étroite de la jeunesse et étaient pour la plupart des garçons issus des classes supérieures. Ils forment aujourd’hui un groupe nombreux, plus important numériquement que celui des artisans et commerçants. être étudiant est devenu la forme canonique de la jeunesse, le modèle social privilégié du passage au statut adulte, non seulement dans les métropoles mais aussi dans les villes moyennes, non seulement pour les garçons mais aussi pour les filles. Celles-ci sont même devenues majoritaires parmi les inscrits post-baccalauréat. On observe cependant encore de fortes inégalités d’accès à l’enseignement supérieur selon l’origine sociale, et une importante différenciation des étudiants selon les études suivies. L’accroissement des effectifs s’est en effet accompagné d’une mutation et d’une diversification profondes des manières d’être étudiant. Cet ouvrage qui associe les compétences d’historiens, sociologues, économistes, statisticiens, politistes propose pour la première fois une vue d’ensemble des transformations qui ont affecté le monde étudiant depuis le début des années 1960 et un éclairage particulièrement approfondi des variations observables depuis le milieu des années 1990. Il apporte des repères chronologiques et démographiques ; met en relation les changements institutionnels, les flux et parcours ; analyse les formes de mobilisation et de représentation. Il s’intéresse à de multiples aspects de la vie étudiante : répartition de l’emploi du temps, argent, logement, alimentation, santé, pratiques culturelles, conditions d’étude et de réussite. Et il ne cède jamais à la facilité de présenter un illusoire « étudiant moyen » : il décrit et analyse la diversité croissante d’un univers contrasté du point de vue du degré d’autonomie, du degré d’intégration au monde de l’enseignement supérieur, du degré de disponibilité pour suivre les cours et accomplir les tâches nécessaires à la poursuite et la réussite des études.
    Pièce jointe 984
    Note Note
    <p>SOMMAIRE</p> <div class="souspartie"> <h2 class="souspartie">Première partie. Les étudiants dans la société française des années 1960 aux années 1990</h2> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Didier <span class="familyName">Fischer</span> </em></div> <a title="Chapitre 1. Les étudiants dans les années 1960 ou la gestation d’un monde nouveau" href="http://books.openedition.org/pur/10283">Chapitre 1. Les étudiants dans les années 1960 ou la gestation d’un monde nouveau</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Valérie <span class="familyName">Erlich</span> </em></div> <a title="Chapitre 2. La transition des années 1970-1980&nbsp;: un monde étudiant renouvelé, une Université inadaptée dans un contexte de récession économique" href="http://books.openedition.org/pur/10285">Chapitre 2. La transition des années 1970-1980&nbsp;: un monde étudiant renouvelé, une Université inadaptée dans un contexte de récession économique</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Olivier <span class="familyName">Rey</span> </em></div> <a title="Chapitre 3. 1987-1997&nbsp;: La France redécouvre ses universités" href="http://books.openedition.org/pur/10287">Chapitre 3. 1987-1997&nbsp;: La France redécouvre ses universités</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Jean-Philippe <span class="familyName">Legois</span>, Alain <span class="familyName">Monchablon</span> et Robi <span class="familyName">Morder</span> </em></div> <a title="Étudiants et mouvements étudiants, des années 1960 aux années 1990" href="http://books.openedition.org/pur/10289">Étudiants et mouvements étudiants, des années 1960 aux années 1990</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Sandra <span class="familyName">Zilloniz</span> </em></div> <a title="L’évolution du monde étudiant en chiffres depuis 1960" href="http://books.openedition.org/pur/10293">L’évolution du monde étudiant en chiffres depuis 1960</a></div> </div> <div class="souspartie"> <h2 class="souspartie">Seconde partie. La condition étudiante, des années 1990 aux années 2000</h2> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Marie <span class="familyName">Duru-Bellat</span> et Élise <span class="familyName">Verley</span> </em></div> <a title="Chapitre 4. Les étudiants au fil du temps&nbsp;: contexte et repères institutionnels" href="http://books.openedition.org/pur/10296">Chapitre 4. Les étudiants au fil du temps&nbsp;: contexte et repères institutionnels</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Louis <span class="familyName">Gruel</span> </em></div> <a title="Chapitre 5. Des étudiants rarement pauvres, mais une indépendance plus fréquemment associée à des tensions budgétaires" href="http://books.openedition.org/pur/10299">Chapitre 5. Des étudiants rarement pauvres, mais une indépendance plus fréquemment associée à des tensions budgétaires</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Ronan <span class="familyName">Vourc'h</span> </em></div> <a title="Chapitre 6. La question du logement" href="http://books.openedition.org/pur/10300">Chapitre 6. La question du logement</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Sandra <span class="familyName">Zilloniz</span> </em></div> <a title="Chapitre 7. La gestion du corps&nbsp;: alimentation et santé" href="http://books.openedition.org/pur/10302">Chapitre 7. La gestion du corps&nbsp;: alimentation et santé</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Ronan <span class="familyName">Vourc’h</span> </em></div> <a title="Chapitre 8. Des vies diversement studieuses" href="http://books.openedition.org/pur/10303">Chapitre 8. Des vies diversement studieuses</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Philippe <span class="familyName">Coulangeon</span> </em></div> <a title="Chapitre 9. Que sont les Héritiers devenus? Les loisirs et les pratiques culturelles des étudiants en France" href="http://books.openedition.org/pur/10305">Chapitre 9. Que sont les Héritiers devenus? Les loisirs et les pratiques culturelles des étudiants en France</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Pierre <span class="familyName">Cam</span> </em></div> <a title="Chapitre 10. La diversité des parcours&nbsp;: les étudiants à la croisée des chemins" href="http://books.openedition.org/pur/10307">Chapitre 10. La diversité des parcours&nbsp;: les étudiants à la croisée des chemins</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Jean-François <span class="familyName">Giret</span> </em></div> <a title="Chapitre 11. L’évolution des conditions d’insertion professionnelle des étudiants" href="http://books.openedition.org/pur/10309">Chapitre 11. L’évolution des conditions d’insertion professionnelle des étudiants</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Olivier <span class="familyName">Galland</span> </em></div> <a title="Chapitre 12. Autonomie, intégration et réussite universitaire" href="http://books.openedition.org/pur/10311">Chapitre 12. Autonomie, intégration et réussite universitaire</a></div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Olivier <span class="familyName">Rey</span> </em></div> <a title="Quelques lignes de force du champ universitaire des années 1990 à aujourd’hui" href="http://books.openedition.org/pur/10313">Quelques lignes de force du champ universitaire des années 1990 à aujourd’hui</a></div> </div> <div class="chapter"> <div class="author"><em> Louis <span class="familyName">Gruel</span> </em></div> <a title="En guise de conclusion&nbsp;: Quatre grands facteurs de différenciation" href="http://books.openedition.org/pur/10314">En guise de conclusion&nbsp;: Quatre grands facteurs de différenciation</a></div>

2008

2007


  • Beaupère Nathalie, Chalumeau Lucile, Gury Nicolas, et al. (2007). L'abandon des études supérieures - Panorama des savoirs. Paris : La documentation française.
    Résumé : Près de 90 000 jeunes par an sortent sans diplôme de l'enseignement supérieur. Cet ouvrage présente une synthèse des travaux consacrés à ce problème. Après une présentation méthodologique, une première étude montre en quoi l'enseignement supérieur de masse peut être propice à l'abandon. La deuxième, plus centrée sur les bacheliers, examine les déterminants sociaux et culturels qui teintent certains parcours post-baccalauréats, révélant ainsi une tendance à l'individualisation de l'échec. Distinguer ainsi ce qui relève de l'institution et ce qui relève des trajets personnels, permet d'éclairer les zones d'ombre de situations dont le coût psychologique et social reste élevé pour les jeunes et leurs familles. Le recensement des principales enquêtes réalisées auprès de ces jeunes dans une troisième partie dévoile ce qui pourrait faire l'objet de plus amples investigations. Car, bien que nombre d'enquêtes s'intéressent aux trajectoires de ces jeunes, il apparaît que l'outil statistique de compréhension de l'abandon d'étude peut encore être amélioré, afin d'aider dans leur démarche ou leur parcours, l'ensemble des acteurs concernés. Une bibliographie accompagne ces études, prolongée par quelques analyses d'ouvrages cités.

2006


  • Fernex Alain & Lima Laurent (2006). Jugements étudiants sur l’intérêt des études : quelques enseignements tirés d’une comparaison internationale. Cahiers De La Recherche Sur L’éducation Et Les Savoirs, n° 5, p. 243-272.
    Résumé : La littérature économique et sociologique s’intéresse depuis quelques décennies aux transformations que connaît l’enseignement supérieur. Une recherche internationale menée dans le cadre de la Fondation des régions européennes pour la recherche en éducation et en formation (FREREF) permet de disposer de données relatives aux jugements que portent les étudiants relativement à leurs études (conditions de travail, difficultés...) ainsi qu’à leurs attentes. Dans cet article, les auteurs privilégient, et mettent en relation, trois dimensions du questionnement. Quels bénéfices les étudiants espèrent-ils tirer de leurs études ? Quelle typologie peut-on établir sur ces bases ? Quelles sont, aux yeux des étudiants, les principales caractéristiques de leurs études ? À quelles exigences sont-ils confrontés ? Quels jugements forment-ils sur leurs progressions ? L’article tend à mettre en évidence une grande variabilité des attentes exprimées (en fonction de la filière, de la région européenne d’appartenance), ainsi qu’à établir l’existence de relations entre les jugements portés sur l’intérêt des études et ceux portés sur les progressions., The economic and sociological literature has been interested for a few decades in the transformations of higher education. An international research undertaken within the FREREF’s framework offers data relating to the judgements students express about their studies (working conditions, difficulties, expectations). In this article, the authors discuss and relate three dimensions of the issue : What benefits do the students hope to draw from their studies ? What typology can be establish on these bases ? What are, in the students’ eyes, the main characteristics of their studies ? What requirements are they submitted to ? What judgements do they express on their progression ? The article highlights a great diversity of expressed expectations (according to the domain of studies, the country) and establishes the existence of relations between the judgements related to the interest of the studies and those related to progression.

2005

2004


  • Coffield Franck, Moseley David, Hall Ela, et al. (2004). Learning styles and pedagogy in post-16 learning: a systematic and critical review (p. 173). Londres : Learning & Skills Research Centre. Consulté à l'adresse http://hdl.voced.edu.au/10707/69027
    Résumé : Learning style instruments are widely used but not enough is known about their reliability and validity and their impact on pedagogy in post-16 learning. This report documents work from a project commissioned by the Learning and Skills Development Agency (LSDA) to carry out an extensive review of research on post-16 learning styles, to evaluate the main models of learning styles, and to discuss the implications of learning styles for post-16 teaching and learning. The following research questions were addressed: What models of learning styles are influential and potentially influential?...

2003



  • Biémar Sandrine, Philippe Marie-Christelle & Romainville Marc (2003). L’injonction au projet : paradoxale et infondée ? Approche longitudinale du choix d’études supérieures. L'orientation Scolaire Et Professionnelle, n° 32/1, p. 31-51. Doi : 10.4000/osp.3167
    Résumé : On considère classiquement qu’un étudiant qui choisit sa filière d’études supérieures en fonction d’un projet personnel mûrement réfléchi maximise ses chances de réussite. La présente étude a pour but d’examiner de manière empirique et critique cette relation qui, bien qu’elle soit souvent posée a priori sans qu’on en vérifie la validité, étaye bon nombre de dispositifs d’information et d’orientation mis en place pour faciliter la transition entre le secondaire et le supérieur. Sur la base d’une enquête préalable menée par questionnaire auprès de 207 futurs étudiants, une étude longitudinale et qualitative a été conduite par entretiens semi-dirigés sur un échantillon de 29 étudiants, tout au long de leur première année d’enseignement supérieur. En croisant la manière dont ces étudiants justifient leur choix de filière et la manière dont ils relatent la gestion de leur nouveau « métier », les résultats permettent de situer plus finement le rôle du projet dans l’instauration d’une motivation aux études supérieures. Ils montrent notamment combien l’injonction au projet peut se révéler, d’une part, paradoxale tant le choix s’est parfois fait sous la contrainte et, d’autre part, infondée tant la focalisation sur un projet, surtout professionnel, peut faire passer l’étudiant à côté de ce qui sera central pour sa réussite, à savoir la construction d’un rapport positif, ici et maintenant, aux savoirs universitaires.

  • Millet Mathias (2003). Les étudiants et le travail universitaire: étude sociologique. Lyon : Presses universitaires de Lyon.
    Résumé : Ce livre propose une analyse des rapports socialement différenciés des étudiants au travail universitaire. S'appuyant sur une enquête comparative conduite, au sein des universités lyonnaises, entre deux filières d'études contrastées, la médecine et la sociologie, l'auteur porte le regard sur les apprentissages étudiants et examine tour à tour les emplois du temps, les dispositifs d'organisation écrits, les pratiques de lecture et d'écriture de ces deux groupes d'étudiants. L'ouvrage montre que les matrices disciplinaires et la nature spécifique des savoirs transmis (leur organisation, leurs traditions...) sont, en plus de la composition sociodémographique des publics, au principe de variations significatives dans les pratiques du travail universitaire et les rapports des étudiants à ce dernier. La sociologie a beaucoup fait pour la mise au jour d'inégalités dans les rapports aux savoirs selon les conditions sociales d'origine des étudiants et pour l'analyse des fonctions de reproduction exercées par le système scolaire dans son ensemble. Elle n'a en revanche guère insisté sur les partages sociaux (dans les manières d'apprendre et dans les rapports aux savoirs) qui peuvent résulter de la fréquentation de savoirs socialement et cognitivement différenciés. C'est à l'aune de cette question, et dans la double optique d'une sociologie de l'éducation et des savoirs, que l'auteur se propose d'analyser les pratiques du travail universitaire des étudiants.
  • Monfort Valérie (2003). Les étudiants de première année à l'université et le travail scolaire : l'exemple de deux filières : Sciences et AES (Thèse de doctorat en sociologie). École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS), Paris.
    Résumé : On sait que les taux d'échec à la fin de la première année à l'université en France sont importants. Les échecs concernent avec à peu près la même fréquence les étudiants de sciences dont le cursus antérieur est caractérisé par une bonne réussite que ceux qui entrent en première année d'AES, dont la réussite fut, au contraire, moyenne. Cet aspect de l'échec en deug suggère que ce sont les conditions de travail à l'université qui expliquent, pour partie, les résultats des étudiants. On s'est proposé d'expliquer ce phénomène en adoptant un point de vue inspiré de la sociologie du travail. On a voulu analyser le mode d'adaptation des étudiants à la situation de travail à laquelle ils se trouvent confrontés au cours de leur première année d'études universitaires. La démarche adoptée repose sur un travail de terrain prolongé auprès des étudiants de deux filières -sciences et AES- inscrits dans quatre universités.

2002



  • Boyer Régine & Coridian Charles (2002). Transmission des savoirs disciplinaires dans l'enseignement universitaire. Sociétés Contemporaines, vol. 48, n° 4, p. 41-61. Doi : 10.3917/soco.048.0041
    Résumé : L’intérêt pour les formes de socialisation disciplinaire produites dans l’enseignement supérieur commence à se développer en France. La question a été abordée notamment du point de vue des pratiques étudiantes et de l’effet de la discipline sur les manières de travailler et d’apprendre. On s’attache ici aux modalités de transmission des savoirs et plus particulièrement aux pratiques des enseignants dans la forme emblématique de l’enseignement à l’Université : le cours magistral. Des différences de mise en œuvre selon la discipline peuvent - elles être mises en évidence ? On tentera de répondre à la question en comparant l’organisation des enseignements et la conduite des cours dans deux disciplines proches par leur objet mais dissemblables par leur statut et leur recrutement : l’Histoire et la Sociologie.

1999

  • Grignon Claude & Gruel Louis (1999). La vie étudiante. Paris : PUF.
    Résumé : Vaut-il mieux, pour réussir dans ses études, assister aux cours ou travailler tard le soir ? A-t-on plus de chances de succès aux examens quand on vit chez ses parents ou quand on loge en cité universitaire ? Quels sont les étudiants qui travaillent plus de 35 heures par semaine pour leurs études ? De quoi vivent les différentes catégories d'étudiants, qui finance leurs études, quelles sont les parts respectives des bourses, de l'aide de la famille, du travail rétribué ? On trouvera les réponses à ces questions, et à beaucoup d'autres, dans ce livre qui repose sur l'enquête réalisée en 1997 par l'Observatoire de la Vie étudiante. On y verra que le personnage de l'étudiant moyen est une fiction trompeuse : les genres de vie des étudiants sont aussi variés, et par bien des côtés aussi inégaux, que les études supérieures.

1998


  • Erlich Valérie (1998). Les nouveaux étudiants: un groupe social en mutation. Paris : A. Colin.
    Résumé : Qui sont les étudiants aujourd'hui ? Comment vivent-ils ? Quels sont les changements intervenus dans leur mode de vie au cours de ces quarante dernières années ? A partir de données actuelles et de résultats antérieurs, cet ouvrage contribue à apporter des réponses nouvelles et à remettre en cause des idées établies : l'Université n'est pas inadaptée ou archaïque et les étudiants ne constituent pas une simple collection d'individus isolés ou un milieu sans consistance sociale. Certes, il existe certaines dérives de la massification et de la montée des effectifs : des disparités accrues entre les étudiants; des taux d'abandon et de réorientation importants au niveau de la première année d'université; des diplômés qui connaissent des conditions d'insertion professionnelle de plus en plus précaires sur le marché de l'emploi. Pourtant, les enquêtes montrent que les diplômes continuent à assurer la meilleure garantie contre le chômage, et que les niveaux de qualification ne cessent de s'élever tandis que les échecs universitaires diminuent. Au-delà de ces observations structurelles, l'ouvrage s'intéresse aux étudiants et à leurs façons de vivre. Les nombreux matériaux d'enquête exploités dans ce livre permettent d'explorer les différents domaines de la vie quotidienne des étudiants à travers leur rapport aux études, au logement, à la famille, au travail, aux loisirs et à la culture. L'auteur montre ainsi, en insistant plus particulièrement sur le rôle de l'âge, que le statut d'étudiant participe activement à la constitution de l'identité sociale et personnelle de l'individu, à travers un processus d'émancipation, d'acquisition progressive des rôles et des conduites "adultes".
    Note Note
    <p>SOMMAIRE</p> <ul> <li>De l'étudiant d'hier à l'étudiant d'aujourd'hui</li> <li>L'héritage du passé</li> <li>Les transformations du recrutement étudiant</li> <li>De la diversité à la disparité des parcours étudiants</li> <li>De la dévaluation à la " précarisation " des diplômés sur le marché de l'emploi</li> <li>De l'institutionnalisation du statut étudiant à la reconnaissance sociale</li> <li>Des études aux modes de vie</li> <li>Les étudiants et leur rapport aux études</li> <li>Les conditions de vie des étudiants</li> <li>Sociabilité, loisirs et pratiques culturelles des étudiants</li> <li>Temps et espaces étudiants</li> <li>La vie étudiante : un processus " d'émancipation "</li> </ul>

1997

1994

1981



  • Ramsden Paul & Entwistle Noel J. (1981). Effects of Academic Departments on Students' Approaches to Studying. British Journal Of Educational Psychology, vol. 51, n° 3, p. 368-383. Doi : 10.1111/j.2044-8279.1981.tb02493.x
    Résumé : Summary. 2208 students from 66 academic departments in six contrasting disciplines from British universities and polytechnics completed an ‘approaches to studying’ inventory and a course perceptions questionnaire. Factor analyses of these instruments confirmed the factor structures previously reported. Approaches to studying can be described in terms of three main factors—orientations towards personal meaning, reproducing, and achieving. In the present analysis the final factor split into two: achieving orientation and a factor labelled ‘disorganised and dilatory’ which showed a close relationship with self-rating of academic progress. The course perceptions questionnaire produced two main factors. One described formal teaching methods, vocational relevance, and clear goals and standards, and the other represented a favourable departmental evaluation with the highest loadings on good teaching and openness to students. Subsequent analyses examined links between students' perceptions of their main academic departments and their reported approaches to studying. Departments with highest mean scores on meaning orientation were perceived as having good teaching and allowing freedom in learning. Departments with the highest mean scores on reproducing orientation were seen to have a heavy workload and a lack of freedom in learning. The implications of these statistical findings are discussed in relation to continuing analyses of interview data which clarify the ways in which the organisation of teaching and courses may affect students' approaches to learning.
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