Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : DIDIERJEAN Marc
Date de soutenance : 2007
Thèse délivrée par : Université de Provence-Aix-Marseille 1
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Yvan ABERNOT
En s'appuyant sur les travaux menés dans les domaines de la psychologie cognitive et de la perception, la question à laquelle ce travail cherche à amener des éléments de réponse est : comment un biais influence les processus cognitifs en jeu dans la tâche d'évaluation ? Les résultats des expériences 1 et 2 montrent que quelque soit le niveau d'expertise des correcteurs ceux-ci mettent bien en place un recueil sélectif d'indices (RSI) fonction de l'attente. L'expérience 3 montre que des phénomènes de non-perception d'indices permettent d'expliquer pour une part le RSI. L'expérience 4 montre qu'une même erreur peut ne pas être encodé et catégorisé de la même manière selon l'attente que le correcteur se fait de la copie avant correction. L'expérience 5 montre que selon cette attente "a priori", des correcteurs novices appréhendent et catégorisent différemment non quelques indices, mais un cinquième de la copie.
Evaluation et processus cognitifs : contribution à l'étude des processus cognitifs de la tâche d'évaluation
Auteur(s) : DIDIERJEAN Marc
Date de soutenance : 2007
Thèse délivrée par : Université de Provence-Aix-Marseille 1
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Yvan ABERNOT
En s'appuyant sur les travaux menés dans les domaines de la psychologie cognitive et de la perception, la question à laquelle ce travail cherche à amener des éléments de réponse est : comment un biais influence les processus cognitifs en jeu dans la tâche d'évaluation ? Les résultats des expériences 1 et 2 montrent que quelque soit le niveau d'expertise des correcteurs ceux-ci mettent bien en place un recueil sélectif d'indices (RSI) fonction de l'attente. L'expérience 3 montre que des phénomènes de non-perception d'indices permettent d'expliquer pour une part le RSI. L'expérience 4 montre qu'une même erreur peut ne pas être encodé et catégorisé de la même manière selon l'attente que le correcteur se fait de la copie avant correction. L'expérience 5 montre que selon cette attente "a priori", des correcteurs novices appréhendent et catégorisent différemment non quelques indices, mais un cinquième de la copie.