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     Langue(s) : français 

Rapport d'activité ministériel 2002-2003


Editeur(s) :  Ministère de la Jeunesse, de l'Éducation nationale et de la Recherche

Date :  04/2003

  L'ensemble du rapport se découpe en six axes principaux :
  • Une action résolue, inscrite dans la durée et qui s'enrichira à la lumière des débats (6 pages)
  • Les faits marquants 2002-2003(2 pages)
  • Panorama du système éducatif (13 pages)
  • Dix réformes prioritaires pour lutter contre la fracture scolaire (36 pages)
  • La politique en faveur de la jeunesse et de l'éducation nationale (44 pages)
  • Recherche et nouvelles technologies, agir pour l'excellence et le partage des savoirs (28 pages)

    Editorial du rapport :

    Ce troisième rapport d’activité ministériel reflète la nouvelle organisation du ministère de l’éducation nationale, devenu, en juin 2002, ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche. Il réunit, pour la première fois, trois secteurs jusque là distincts et relate, pour chacun d’eux, les principales options statégiques mises en œuvre entre septembre 2002 et juin 2003.

    Réduire la fracture scolaire et améliorer la qualité des services rendus, telles sont les lignes de force tracées en matière de politique éducative durant l’année scolaire et universitaire 2002-2003. La méthode adoptée est simple : éviter les annonces grandioses et les mesures éparpillées, mais plutôt concentrer l’action sur un nombre limité de chantiers prioritaires. C’est ainsi qu’ont vu le jour un plan de prévention de l’illettrisme, un plan pour améliorer l’accueil des jeunes handicapés, un nouveau dispositif de prévention de la violence à l’école, ou encore toute une série de mesures pour développer les classes en alternance au collège ou pour limiter l’échec scolaire au niveau des premiers cycles universitaires… Sans oublier la mise en place de l’espace européen de l’enseignement supérieur et les négociations engagées pour accomplir la décentralisation et conforter l’autonomie des universités.

    La réunion de la jeunesse et de l’éducation nationale au sein d’un même département ministériel correspondait à une volonté de concevoir l’éducation en un sens plus vaste que le seul enseignement scolaire ou universitaire, en y incluant les activités menées hors de ce contexte. Dans cette perspective, la politique en faveur de la jeunesse a privilégié quatre axes : améliorer la sécurité et renforcer la dimension éducative des centres de vacances et de loisirs ; améliorer les dispositifs d’information et d’orientation ; renforcer la participation des jeunes à la vie civique et démocratique ; et favoriser l’engagement des jeunes en les aidant à s’investir dans une action positive et inscrite dans la durée. Ainsi, l’opération “Envie d’agir”, dont la première édition a été lancée en mars 2003 et qui va se poursuivre en 2003-2004, se veut une réponse au désir d’engagement des jeunes de 11 à 28 ans.

    En ce qui concerne la politique de la recherche, des nouvelles technologies et de l’espace, l’action ministérielle s’est articulée autour de priorités qui engagent l’avenir des générations : le développement durable, ITER source d’énergie du futur, les sciences du vivant, la lutte contre le cancer, la société numérique et le partage des connaissances, la relance de la politique spatiale, le plan en faveur de l’innovation, le développement du partenariat entre recherche publique et entreprises, le rapprochement de la science et du citoyen… Tout en privilégiant le dialogue avec les chercheurs.
    (Format PDF 6,1 Mo, 129 pages)

    Télécharger le document :  http://www.education.gouv.fr/.../2002_2003.htm